vendredi 6 juillet 2012

09/02/2010 Lettre à Mgrs L + V et à D


Lettre commune à trois frèreS


Rappel : Je suis un simple citoyen de bonne volonté qui essaie d’être « juste » et de mettre au mieux en pratique l’Evangile et les Saintes Ecritures (même si je le fais plus intuitivement que par leur connaissance profonde) ; Je crois au Christ et je viens en Son Nom ! Ne le concevez-vous pas ? Je  suis très honoré (mais je n’en demande pas tant) qu’involontairement et implicitement vous me fassiez conférer le statut de Prophète, car il est écrit « nul n’est Prophète en sa Nation…», (et en me rejetant comme je le constate à travers les faits (anticipés dans un précédent courrier) que je vis depuis, au lieu de me porter reconnaissance, secours et coordination !). Est-ce là la conception pragmatique de la charité  de ceux à qui le Christ a recommandé de se livrer avec circonspection et discernement à reconnaître les signes et de mettre  en pratique les Saintes Ecritures! Préférez-vous (par votre attitude) contribuer à me faire chuter ou à m’aider ?


Est-ce que je vous apparaît si peu « juste » et mon action (de grâce) si peu en conformité avec la Volonté du Père que vous n’appliquiez pas avec zèle les prescriptions des Saintes Ecritures (Cf  par exemple Isaïe 26 , (le verset 7 en particulier)) et  m’aidiez si peu, ….et me rejetez même !
De fait, que vous m’apportiez davantage un ignorant mépris qu’une fraternelle entraide ne me gênerais guère à titre personnel, mais j’y vois là à la fois une insulte envers les Prophètes, le Christ, les Apôtres et tous les Saints, et donc vis-à-vis du Très-Haut. Un tel déni de chrétienté, me contrarie profondément. Car que vous le veuillez ou non, j’ai été choisi par le Ciel pour mener ici-bas un combat menant à Sa Victoire, et j’ai bien l’intention d’y parvenir, avec ou sans vous… mais je préfèrerais que ce soit avec vous et les valeurs que vous défendez (en théorie) et que vous honoreriez en  rejoignant mon combat.


Comprenez que la Sainte Victoire est en marche, mais qu’il nous vaudrait  mieux agir en concertation, dans la mesure où la Vision m’en est confiée, et que vous êtes sur le terrain.
Ne tombez pas dans les écueils des excès de vertu, et interrogez-vous de savoir si l’excès de prudence (sans pour autant tomber dans la témérité), de discrétion ne confine-t-il pas à l’inaction et servirait de prétexte à une certain laxisme ou à de la lâcheté ? (lequel peut-être tout aussi néfaste que l’ action mauvaise ou l’action malveillante).


Concrètement, que faites-vous donc des « Heureux les Hommes de bonne volonté », « béni soit celui qui vient au nom du Seigneur », « béni soit celui qui mettra l’Evangile en pratique » ?
Qu’est ce qui vous dérange chez moi? Vous qui refusez mes approches par téléphone, il serait, me semble-t-il, utile soit que je vous explique ce que vous n’auriez pas compris d’un côté, soit pour me parfaire de l’autre, et avancer ensemble.

Y avez-vous déjà réfléchi ? Si vous croyez au Saintes Ecritures et donc à l’avènement de l’Apocalypse :
Quand situez vous sa période la plus propice? La situation mondiale (climatique, écologique, financière, sociale…) n’est pas assez critique ? L’Humanité n’est globalement pas tombée assez « bas » pour vous?
Que je me sois adressé aux 7  « rois » les plus  influents de la planète? Cette  coïncidence et tant d’autres avec les Ecrits  de Saint-Paul et des Apôtres est-elle trop belle qu’elle vous inspire davantage de méfiance que de confiance dans la foi ?
-          Que je serve intuitivement « tout le monde » (les non croyants, les juifs, les chrétiens, les musulmans, des sages et des moins sages…) ne m’a-t-il pas été prédit?
-          Que je note la coïncidence entre l’apparition récente de la constellation du papillon annoncée en septembre 2009 (correspondant à l’emblème du papillon qui m’est apparue et que j’ai livré depuis longtemps) et le « signe dans les étoiles » promis dans l’Evangile, vous laisse-t-il indifférent ? Et, ça, ça ne s’invente pas !
-          Les fruits pacifiques que j’apporte ne vous sied-ils point ? Vous vous attendiez peut-être à ce que je descende du ciel avec des ananas ?.....  Des goyaves peut-être, que j’aurais dû prendre le risque de livrer chez vous ?   Vous auriez sans doute mieux reconnu l’Esprit qui m’anime!
-          Peut-être les mots que j’utilise vous dérangent-ils? N’étiez-vous pas prévenus qu’ils seraient ceux d’un homme envoyé « dans  le monde » ?
-          Comptez-vous longtemps alourdir le joug du fardeau (pourtant léger) que je porte à bout de bras ?
-          … Ou allez-vous enfin « percuter », vous redresser et vous retrousser les manches ?



Ne savez-vous voir « en moi » le moindre attribut du « Prince de la paix » (cf Isaïe 11).
Ne savez-vous reconnaître les bourgeons du figuier ? Où vivez-vous ? Ecoutez-vous les émissions politiques ? Lisez-vous l’actualité ? Ne ressentez-vous rien ? Ne voyez-vous pas l’élan donné au sentiment de respect de la nature, à la prise de conscience des dérives (les anges divins aidant) de la finance de ce monde (monde des apparences) ? Ne saurez-vous reconnaître mes fruits en Jésus ? Ne nous (les esprits qui m’animent et leur humble serviteur qui s’adresse à vous ce jour) accorderez-vous pas même un concours de circonstances et ne saurez-vous pas reconnaître le sceau qui nous unit ? Relisez donc et ayez foi cf Jean 15 par exemple, le verset 26 et 16 (1, puis 8 puis 13 à 15) notamment.

Ce qui me blesse aussi, c’est que j’ai écrit à un, puis deux, puis trois prélats pour les aviser de leur surdité, (conformément  aux prescriptions de la gestion des reproches de l’Evangile, je m’en suis  expliqué…/…; vous en êtes-vous au moins entretenus ?). Quel accueil  m’avez-vous fait alors qu’il nous est demandé de savoir trouver le juste  en tout être et donc la présence du Christ en chacun ? Je vous le redis clairement : votre manque de communication semble patent. Aucun contact ne m’a été permis en retour des informations confidentielles …/… que je vous ai adressées, et à chaque prise de contact retour, c’est avec soit mépris, soit condescendance que j’ai été considéré.
Il me serait désagréable d’étendre le cercle de ceux à qui je fais part de mes reproches à un premier évêque, puis à un second, puis à un subordonné mais néanmoins frère de celui-ci.
Comprenez ceci : conformément à l’exemplarité et à l’enseignement du Christ, l’Esprit de vérité qui m’anime craint le Seigneur, c'est-à-dire craint la Vérité absolue et son jugement. Les écrits restent. Aussi, c’est en état de conscience maximale possible que je les rédige, et que je suis prêt à en rendre compte (ou à m’en expliquer dans une certaine mesure), de mon vivant vis-à-vis de ceux à qui je les adresse, et pour l’Après-vie, vis-à-vis du Très Haut et donc de toute âme qui me demanderait de lui rendre compte.

Alors maintenant, réfléchissez vite, mais réfléchissez bien ! Voyez si vous êtes prêts à assumer plus longtemps votre  refus (devenu collectif de fait) de m’ouvrir votre porte (répondre favorablement à mes rendez-vous téléphoniques), et par là même le refus de servir d’une façon renouvelée l’Humanité. Que vous le veuillez ou non, que vous le compreniez ou non, Le Père tient ses promesses et j’ai une mission à accomplir. Donc, dans la mesure où mes capacités me suivent, je n’ai pas l’intention d’y renoncer, même si ceux dont la mission serait de m’aider à trouver la meilleure voie possible s’y refusent. De toute façon, un jour vous réaliserez et rendrez grâce au Très Haut, tout en Lui demandant pardon de ne l’avoir pas cru ou mal compris! Pourvu que cela se fasse de votre vivant et pas au détriment de tout ce dont vous avez la charge ! C’est à vous de voir. Comprenez que le temps passe et que mes capacités à épargner les incrédules récalcitrants du juste sort qui les attend s’amenuisent !




C’est aussi dans l’action « juste et bonne » que chacun doit s’accomplir, comprenez-le.
« Heureux le serviteur si son seigneur en rentrant le trouve occupé à faire ce qu’il doiT »
Que chacun se demande donc quel est son rôle dans le vie et face à une situation donnéE



Avoir rappelé les hommes politiques à leurs devoirs, après leur avoir montré leur déni de Démocratie commence à porter ses fruits, et ce sont les laïcs, (n’est ce pas un comble ?), qui sont devenus les plus vaillants à revêtir des habits menant à la Terre Nouvelle Promise.

« N’imitez pas les maîtres de la loi » nous enseignait déjà le Christ.
Souhaitez-vous que ce soit là mon cri ? L’Histoire est-elle un éternel recommencement des erreurs humaines, ou bien le salut universel ne doit-il pas passer par  la prise de conscience du sens de l’Histoire, du sens du progrès (notamment spirituel), conformément au Plan (transmis notamment par les Prophètes) et à la Volonté Paternelle de rassemblement  spirituel de ses enfants et de son Oeuvre? Nous avons encore le choix ! Pour combien de temps ???? Comprenez que Notre Père est long à la colère, mais de là à penser qu’Il en est exempt....c’est un pas que je ne saurais conceptuellement franchir. Il y a des règles de vie qui nous ont été édictées, des expériences de vies rapportées, des explications et des promesse faites…N’est-ce pas? …Vous qui les enseignez ! 

Réfléchissez ! Pensez-vous que le peuple puisse avoir confiance en des prélats (vous en l’occurrence) alors que moi-même je me demande presque si je peux encore avoir confiance en vous quand je vous écris sous cette forme pour mieux vous instruire et par là instruire le Pape, au point que je ne sais même pas si vous communiquez convenablement mes missives en l’aidez à mieux appréhender la situation!
Peut-on me reprocher de vous faire confiance et passer par vous pour livrer mes fruits? Le Très Haut y verrait-il là le fait de donner des perles aux cochons ? …/…


Rq : Les signes que le Pape a envoyés aux initiés vous semblent-ils aussi insuffisants ?  (Messe dans l’église « Sainte Marie de la Victoire » peu après la réception de mon courrier, invitation de Mr FILLON au Vatican, apologie directe de la charité, indirecte de la culture du secret et de la discrétion, messe avec nos frères juifs et musulmans, rapprochement des différentes églises du Christ,…).
Vous a-t-il fait part en fraternité de certaines lois de l’Esprit et du début de l’eschatologie que je lui ai envoyés ? Il le peut, sachant que vous êtes tenus au secret et que votre avis est souhaité, me semble-t-il.


*             *             *


Veuillez prendre connaissance …/… : Quand intègrerez-vous que je suis le vassal du Très Haut et suis chargé de mener (avec le Christ Victorieux et ses alliés les Prophètes en moi) Leurs valeurs à la Victoire?

…quitte à être légèrement provoquant …comme le Christ en son temps.

Que ce soit la parabole du figuier ou celle d’Isaïe, il nous est dicté de nous redresser et de nous entraider pour la Gloire de Celui à qui nous devons tout.

Ne me croyez-vous pas lorsque je vous explique que le Seigneur opère un peu comme il a opéré avec Samuel, à ceci prés que le Père emploie avec moi bien moins la clair audience directe et qu’ainsi, je ne lui ai pas répondu « j’écoute », mais « je suis éveillé et en alerte maximale vis-à-vis de Vos signes, Seigneur ».


Etc…


                                                               Fraternellement.

                                                                                                                                             G.A.D.



P.S. : Si je n’ai pas su trouver les mots suffisants pour vous faire rejoindre le saint combat supra-oecuménique que je mène, lequel est promis à la Victoire pour les Hommes de bonne volonté, puisse Notre Père me le pardonner ; par la présente, Il m’est témoin que j’aurai fait le maximum pour vous prévenir. A chacun son choix, à chacun son sort. Au-delà des mots, de certaines explications (herméneutiques ou pas), le saut dans l’inconnu ne peut s’opérer que par les ailes fournies par l’espérance associée à une certaine sagesse et à la foi, consciente d’apparence, mais surtout inconsciente et profonde (non révélée la plupart du temps, sauf à certaines occasions).

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